Travail au Liban : Un rapatriement massif en vue
Orange Madagascar
Il a été annoncé durant le conseil des ministres hier que 15 employées malgaches sont actuellement emprisonnées au Liban pour diverses raisons judiciaires. Suite à des négociations entre les gouvernements des 2 pays, elles peuvent être rapatriées à Madagascar. Une autre soixantaine d'employées malgaches sont par ailleurs logées à l'Institut catholique du Liban, et ce, grâce aux démarches menées en vue de détecter toutes celles qui sont victimes de torture et de maltraitance.
Par conséquent, le conseil des ministres a décidé d’affréter un avion spécial pour rapatrier les employées malgaches emprisonnées et toutes celles qui désirent rentrer au pays. Dans ce sens, le ministère de la fonction publique et celui de la population sont tenus à lancer un appel afin que les parents fournissent l’identité et l’adresse des employés qui désirent rentrer au pays. L'ordre a également donné par le président de la HAT de fermer toutes les agences de placement défaillantes.
Le cas des malgaches qui partent travailler au Liban est un sujet qui mérite réflexion. Les chiffres parlent d'eux mêmes. Le problème est à prendre à la source. Le Liban est un pays réputé pour le traitement particulier accordé aux gens de maison, malgaches ou autres. Des sensibilisations s'imposent. Les agences de placement ont le devoir de s'informer et d'informer leurs clients sur la réalité à laquelle ces derniers doivent faire face une fois dans le pays hôte. En dépit de la situation précaire de l'emploi à Madagascar, ceux en quête d'une meilleure situation ne doivent se laisser aveugler par le simple fait de gagner de l'argent.
Mirana Rakotoarison
http://www.orange.mg/index.php?option=com_orangeinfo&newscatid=1&infoid=7192&task=view&Itemid=99999999
Le cas des malgaches travaillant au Liban a été abordé durant le conseil des ministres de la HAT qui a eu lieu hier à Ambohitsorohitra. Il a alors été décidé qu’un avion spécial sera affrété pour rapatrier de tous ceux qui souhaitent rentrer au pays.
Il a été annoncé durant le conseil des ministres hier que 15 employées malgaches sont actuellement emprisonnées au Liban pour diverses raisons judiciaires. Suite à des négociations entre les gouvernements des 2 pays, elles peuvent être rapatriées à Madagascar. Une autre soixantaine d'employées malgaches sont par ailleurs logées à l'Institut catholique du Liban, et ce, grâce aux démarches menées en vue de détecter toutes celles qui sont victimes de torture et de maltraitance.
Par conséquent, le conseil des ministres a décidé d’affréter un avion spécial pour rapatrier les employées malgaches emprisonnées et toutes celles qui désirent rentrer au pays. Dans ce sens, le ministère de la fonction publique et celui de la population sont tenus à lancer un appel afin que les parents fournissent l’identité et l’adresse des employés qui désirent rentrer au pays. L'ordre a également donné par le président de la HAT de fermer toutes les agences de placement défaillantes.
Le cas des malgaches qui partent travailler au Liban est un sujet qui mérite réflexion. Les chiffres parlent d'eux mêmes. Le problème est à prendre à la source. Le Liban est un pays réputé pour le traitement particulier accordé aux gens de maison, malgaches ou autres. Des sensibilisations s'imposent. Les agences de placement ont le devoir de s'informer et d'informer leurs clients sur la réalité à laquelle ces derniers doivent faire face une fois dans le pays hôte. En dépit de la situation précaire de l'emploi à Madagascar, ceux en quête d'une meilleure situation ne doivent se laisser aveugler par le simple fait de gagner de l'argent.
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