UNE COTE D'IVOIRE-BIS SE PREPARE EN CE MOMENT : SOYONS VIGILANT ! Des individus sont en train de fomenter le remake du 26 janvier 2009 à Madagascar. Ce sont des individus payés par les anciens colons. Le but est de mettre sur le dos des légalistes et pro-Ravalomanana les actes de barbarie qu'ils veulent perpetrer de nouveau. Des pro-Ratsiraka et quelques pro-Zafy participent à ce dessein macabre pour faciliter l'arrestation de tous les pro-Ravalomanana comme ils ont fait avec Raharinaivo, Ralitera, Manandafy, Ihanta,.... C'est dans ce but que le Colonel Vital a été "nommé" par le putschiste Andry Rajoelina, comme il a "nommé" Dolin en son temps à la mairie. Ils ont recruté des gros bras à travers l'île depuis plus d'un mois (après Addis-Abeba) pour créer un mécontentement populaire en s'attaquant aux intérêts français et karana à Madagascar. Le but est de mettre le pays dans le chaos total pour permettre à l'armée française d'intervenir sous le pretexte d'évacuation des ressortissants français et protection des intérêts des entreprises françaises, comme en Côte d'Ivoire. Ce qui permettrait à la France de s'incruster à Madagascar et protéger Andry Rajoelina pour en faire le successeur à vie de Bongo en Afrique. En ce moment, on propage la rumeur que la France veut se débarrasser de Rajoelina car il est "devenu incontrôlable" ! Ce n'est qu'un leurre pour endormir les esprits : ceci fait partie de leur connivence. Des responsables de l'Union africaine sont impliqués dans ce macabre projet : des responsables, habitués à préparer des troubles en Afrique et donner carte blanche à la France dans ce domaine sur le Continent. |
Une vague de protestations sans précédent secoue actuellement Madagascar, portée par une jeunesse déterminée qui refuse la résignation face aux conditions de vie dégradées. Ce mouvement, baptisé "Gen Z", illustre la colère d'une génération qui exige des changements concrets dans un pays où trois quarts de la population vit sous le seuil de pauvreté. Des coupures qui exaspèrent le quotidien Au cœur de cette mobilisation se trouve une revendication simple mais vitale : l'accès constant à l'eau et à l'électricité. Les habitants d'Antananarivo, la capitale, subissent des coupures incessantes qui laissent souvent les foyers et entreprises sans électricité pendant plus de 12 heures d'affilée. Ces dysfonctionnements répétés paralysent l'économie locale et rendent la vie quotidienne particulièrement difficile. Pour une population où environ 75% des 30 millions d'habitants vivent dans la pauvreté selon les données de 2022, ces problèmes d'infra...
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