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Affichage des articles du janvier 23, 2011

La rentrée universitaire 2010-2011 bien incertaine

Madagascar Tribune samedi 29 janvier 2011, par Valis Le début de l’année universitaire 2010-2011 est encore incertaine bien que les enseignants regroupés dans le SECES aient décidé de suspendre leur grève et de reprendre les activités pédagogiques. Il s’agit pour le SECES d’achever d’abord l’année universitaire 2009-2010 ; la suite dépendra de la determination de l’État à observer scrupuleusement certaines conditions sine qua non aux yeux des enseignants qui ont clôturé leur congrès ce vendredi 28 janvier à Ankatso – un congrès qui a duré trois jours. Les principales revendications ou conditions à remplir pour l’ouverture de l’année universitaire 2010-2011 sont : que le budget de fonctionnement pour toute l’année universitaire de l’université de Madagascar soit prêt ; que soient inclus les salaires des personnels administratifs et techniques. À noter que ce mois de janvier 2011, les salaires des personnels administratifs et techniques ont subi des retards de plusieurs jours.

Travail au Liban : Un rapatriement massif en vue

Orange Madagascar Le cas des malgaches travaillant au Liban a été abordé durant le conseil des ministres de la HAT qui a eu lieu hier à Ambohitsorohitra. Il a alors été décidé qu’un avion spécial sera affrété pour rapatrier de tous ceux qui souhaitent rentrer au pays. Il a été annoncé durant le conseil des ministres hier que 15 employées malgaches sont actuellement emprisonnées au Liban pour diverses raisons judiciaires. Suite à des négociations entre les gouvernements des 2 pays, elles peuvent être rapatriées à Madagascar. Une autre soixantaine d'employées malgaches sont par ailleurs logées à l'Institut catholique du Liban, et ce, grâce aux démarches menées en vue de détecter toutes celles qui sont victimes de torture et de maltraitance. Par conséquent, le conseil des ministres a décidé d’affréter un avion spécial pour rapatrier les employées malgaches emprisonnées et toutes celles qui désirent rentrer au pays. Dans ce sens, le ministère de la fonction publique et celu

Les experts onusiens seront ce jour dans le pays

Madagascar Tribune Le ministre de la HAT en charge des Affaires étrangères a reçu ce jeudi 27 janvier dans son bureau à Anosy, le chef de la division Afrique du département des Affaires politiques des Nations unies, João Honwana, accompagné de Peter Metcalf et de Sébastien Lapierre. Les propos ont porté sur la sortie de crise et notamment sur les préparatifs des élections. Ainsi, il a été annoncé que des experts des Nations unies seront ce vendredi 28 janvier dans nos murs. Ils vont évaluer et faire le point sur les préparatifs des échéances électorales en vue d’une meilleure et efficiente collaboration ; l’objectif étant de parvenir à des élections transparentes, crédibles et acceptées par tous. João Honwana a déclaré qu’il faut renforcer les acquis et avancer vers les élections rapidement mais sans précipitation. Le ministre Hippolyte Ramaroson a pour sa part rappelé qu’il a toujours prôné l’organisation de bonnes élections, seule issue à la crise actuelle. João Honwana quitter

Denrées : L'État importateur fait débat

L'Express de Madagascar Une divergence d'opinion est constatée sur la nouvelle décision de l'État qui consiste à importer lui-même du riz et du sucre.  Le rôle de l'État doit se limiter à celui de régulateur. Tel a été le propos de Hugues Rajohson, lorsqu'on lui a demandé son opinion sur le fait que l'État va également devenir un importateur de riz et de sucre. Étant directeur de cabinet du ministre des Finances et du Budget, mais économiste avant tout, il a expliqué pendant la rencontre du Cercle de réflexion des économistes de Madagascar (CREM), dont il est le coordonnateur, que l'État ne doit pas agir à la place des privés même si son intention est justifiée. « Le rôle de l'État est inquiétant en ce moment. Même s'il a l'intention de bien faire, face au comportement complexe des agents économiques, il doit réfléchir davantage », avance t-il. Un autre économiste, Jonah Andrianatoanina, partage son avis. « L'État doit rester libéral. L

26 janvier 2009 : « Pas de vengeance » dit Marc Ravalomanana

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TANANEWS O n oublie tout pour quémander quelques sièges A l’occasion de la commémoration du « Lundi noir » du 26 janvier 2009, Marc Ravalomanana s’est adressé aux partisans des trois mouvances au Magro Behoririka. Une occasion pour lui de tenter d’effacer la haine que les « zanak’i Dada » ont au cœur. « C’est la haine et la jalousie qui ont poussé TGV à commettre ces crimes et délits. Nous rétablirons les dégâts et reprendrons les efforts que nous avons commencé, le moment venu » a-t-il lancé, en demandant à ses partisans de laisser la vengeance à la main divine. Si auparavant, les consignes de l’exilé d’Afrique du Sud étaient adoptées à la lettre par ses fidèles, ceux d’hier n’ont par contre pas fait l’objet d’une acceptation unanime. En effet certains de ces partisans prennent cette résolution comme une volonté de renforcer l’impunité dans le pays. Certains ont même brandi les pancartes faisant appel à un jugement du TPI quand d’autres criaient pour la destruction des biens des

Escroquerie : Un Maddof malgache

Madagascar Tribune jeudi 27 janvier 2011, par Mona M. Patrick Rakotonanahary, a été reconnu lundi 24 janvier 2011 coupable d’escroquerie par un tribunal américain à Hawaii, et condamné à 90 mois de prison ferme, assortis de 3 ans de probation et du versement de 3,5 millions de dollars à ses victimes à titre de restitution. Ce malgache, dont les parents avaient émigré aux Etats-Unis alors qu’il n’était âgé que de trois ans, pourrait aussi être renvoyé à Madagascar à l’issue de sa peine. Patrick Rakotonanahary était accusé d’avoir répliqué à une moindre échelle l’escroquerie de Bernard Maddof. Il avait mis en place un schéma de même type Ponzi, sur le marché des changes à Hawaï et ailleurs aux Etats-Unis. Rakotonanahary demandait à ses clients – et victimes – de l’argent pour investir en leur nom sur les marchés de devises internationaux, leur promettant des rendements hebdomadaires de 4% à 10% et leur présentant de fausses preuves de gain, à savoir les fonds déposés par d’aut

Madagascar : Au moins douze morts et six victimes d’une maladie inconnue

AFRISCOOP Au moins douze personnes ont été tuées tandis que six autres ont été victimes d’une maladie inconnue depuis deux semaines à Analavory, à 130 kilomètres à l’ ouest d’Antananarivo, capitale de Madagascar, selon le journal malgache Midi Madagasikara, publié mardi. Le journal a rapporté douze morts depuis deux semaines tandis que Les Nouvelles, un autre journal malgache a cité le directeur régional de la santé publique de cette localité parlant de 8 morts enregistrés depuis octobre 2010. Les différentes sources disent en commun que cette « maladie typhique » nommée « paratyphoïde » a été causée par les mains sales. Les autorités étatiques ont dépêché sur place lundi deux médecins inspecteurs et une équipe de la gendarmerie pour voir de près la situation. Les autorités sanitaires de la région ont ordonné d’enterrer les morts de la maladie, mais les autochtones ont préféré de respecter leurs us et coutumes. Ces gens ont la coutume de garder quelques jours avec eux les dé

Pétard social ?

Madagascar Tribune mercredi 26 janvier 2011, par Patrick A. Deux ans déjà. Ou seulement deux ans ? Ce « lundi noir », le 26 janvier 2009, Antananarivo tombait dans un chaos imprévisible et indescriptible. Pillages et incendies échappaient à tout contrôle, et un vent de panique soufflait sur tout le pays. Au point qu’en contemplant un coucher du soleil que n’arrivaient pas à cacher les colonnes de fumée, l’on avait l’impression que n’importe quelle personne qui se serait dressée à ce moment là pour prendre le pouvoir l’aurait ramassé comme un fruit mûr. Qui plus est, elle aurait sans doute été acclamée comme le sauveur par une population apeurée. Tout paraissait préférable à cet effrayant néant auquel les Tananariviens étaient alors confrontés. Les occasions d’évoquer les aspects politiques de ce cataclysme n’ont pas manqué. Les lignes de partage sur ses causes, son déroulement ou ses conséquences ne manquent pas non plus, et deux ans après, nous ne sommes guère plus avancés que

26 et 27/01 : alerte aux inondations pour Madagascar

26 et 27/01 : alerte aux inondations pour Madagascar

Madagascar-Tribune.com | L’essence à 3040 Ar.

Madagascar-Tribune.com | L’essence à 3040 Ar.

Simao au CEDS : « Un accord en gestation »

L'Express de Madagascar Simao a rendu visite aux auditeurs du CEDS. D’après lui, un accord se ferait entre la communauté internationale et le gouvernement malgache . L’émissaire de la Sadc à Madagascar, le Dr Leonardo Simao s’est entretenu hier à Androhibe avec les auditeurs du Centre d’Etudes diplomatiques et stratégiques (CEDS). Leonardo Simao a déclaré à cette occasion,l'existence « d’une discussion entre la communauté internationale et le gouvernement malgache ». Et lui de répondre à une question sur le bureau de liaison de la Sadc, « ce bureau est nécessaire pour la reconnaissance internationale, en accompagnement du processus de résolution de la crise. Nous négocions d’abord une feuille de route pour diriger la Transition entre les parties prenantes, et ensuite de discuter sur un accord entre la communauté internationale et le gouvernement, avec obligations mutuelles des deux parties ». Mais Leonardo Simao s’est aussi exprimé, à cœur ouvert, sur d’autres points chau

Agro-alimentaire : De gros contrats refusés

L'Express de Madagascar La Grande Ile a été sollicitée par plusieurs pays pour fournir des zébus. Incapable de répondre à la demande, Madagascar a dû refuser. L'offre ne répond pas à la demande. Le ministre de l'Elevage, Jean De Dieu Maharante, a revélé à la presse, lors de la présentation des vœux du ministère à Soavinimerina hier, que plusieurs pays,dont Maurice et la Turquie ont sollicité Madagascar pour fournir des zébus. « Rien que les pays arabes nous ont commandé 100 000 têtes de zébus par mois », révèle le ministre. Mais la Grande Ile a dû refuser, n'étant pas capable d'approvisionner des marchés à long terme. « Si nous avons accepté d'exporter, tous nos zébus auraient risqué de disparaître », justifie-t-il. (Le nombre total de zébu à Madagascar est en effet estimé à environ 9 800 000 têtes). Refonte totale Avant de procéder à l'exportation, le ministère suggère d’abandonner l'élevage traditionnel. Jean De Dieu Maharante explique que « seul

'Indian, Pakistani businessmen paid 2009 Madagascar coup'

sify news Antananarivo (Madagascar), Jan 22 (DPA) A Madagascar army colonel arrested for participating in last November's coup attempt in the country alleged Saturday that local businessmen, but also Indian and Pakistani businessmen, helped to finance the March 2009 coup.  Colonel Charles Andrianasoavina, in parts of a letter published in the Malaza newspaper, said the businessmen provided 1.2 billion ariary ($6 million) to finance the unrest leading to the March 2009 coup in the Indian Ocean island off the southeastern coast of Africa.  Andrianasoavina called for an international investigation of the March 2009 coup and said he would be prepared to testify.  The letter was sent to former Mozambique premier Joachim Chissano, who is now serving as mediator for the Southern African Development Community to try to resolve the political impasse on the island.  After the March 2009 coup the SADC suspended Madagascar's membership in the organisation.  Andrianasoavina ad

Investissements à Madagascar : les risques augmentent

orange.mg La situation politique ne favorise guère l'environnement économique à Madagascar. Aussi, le pays vient d'être classé pour la deuxième fois dans la catégorie des pays à risque (moyen à fort) d'évènements politiques susceptibles d'handicaper sérieusement les investissements. Tous les ans, la société Aon, mondialement reconnue et experte en gestion des risques adresse aux investisseurs un classement international pour les avertir des risques qu'ils courent dans 221 pays. D'après les analyses de la société Aon, la situation s'est empiré cette année pour Madagascar, avec 3 nouveaux risques qui s'ajoutent aux risques de mutineries, des blocages de devises, des interférences politiques ou encore d'insolvabilité de l'Etat. En effet, Madagascar figure également dans la liste des pays présentant des risques de guerre civile ou d'insurrection. Toujours d'après le rapport de Aon corporation, il est possible que le pays aurait, soit de