Madagascar : inauguration d’un centre juridique pour lutter contre la corruption
AFRISCOOP
Un centre juridique a été inauguré récemment à Antananarivo, capitale de Madagascar, par la branche de Transparency International à Madagascar pour lutter contre la corruption dans ce pays.
Le Centre d’Assistance Juridique et d’Action Citoyenne (CAJAC), est un centre d’écoute et d’accueil pour diriger et accompagner les témoins ou victimes de corruption aux actions auxquelles ils devront procéder, a indiqué le coordinateur de Transparency International-Initiative Madagascar, Florent Andriamahavonjy, lors de l’inauguration du centre.
Le bureau du CAJAC est ouvert à tout résident à Madagascar, qui veulent des précisions sur d’éventuels cas de corruption ou simplement qui souhaitent s’informer, a indiqué M. Andriamahavonjy.
Les juristes du CAJAC reçoivent les plaignants et les aident à monter les dossiers de plaintes contre la corruption, a expliqué le coordinateur de Transparency International-Initiative Madagascar.
Depuis l’ouverture du bureau du CAJAC à Madagascar en septembre dernier, 80 plaintes ont été reçues, dont 90% ont été de faits avérés et envoyés au Bureau indépendant anti-corruption (Bianco), a fait savoir M. Andriamahavonjy.
Il faut noter que le Bianco, lancé à Madagascar en 2004 pour lutter contre la corruption, reçoit toutes sortes de plaintes mais tous les dossiers qui arrivent au bureau du Bianco ne sont pas forcément recevables faute de preuve concrète.
Financé par l’Union européenne, le projet CAJAC a des bureaux dans 50 pays et a ouvert cette année des bureaux dans cinq autres pays dont Cameroun Madagascar, Maurice, Niger et Sénégal. (Xinhua)
http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve4820
Un centre juridique a été inauguré récemment à Antananarivo, capitale de Madagascar, par la branche de Transparency International à Madagascar pour lutter contre la corruption dans ce pays.
Le Centre d’Assistance Juridique et d’Action Citoyenne (CAJAC), est un centre d’écoute et d’accueil pour diriger et accompagner les témoins ou victimes de corruption aux actions auxquelles ils devront procéder, a indiqué le coordinateur de Transparency International-Initiative Madagascar, Florent Andriamahavonjy, lors de l’inauguration du centre.
Le bureau du CAJAC est ouvert à tout résident à Madagascar, qui veulent des précisions sur d’éventuels cas de corruption ou simplement qui souhaitent s’informer, a indiqué M. Andriamahavonjy.
Les juristes du CAJAC reçoivent les plaignants et les aident à monter les dossiers de plaintes contre la corruption, a expliqué le coordinateur de Transparency International-Initiative Madagascar.
Depuis l’ouverture du bureau du CAJAC à Madagascar en septembre dernier, 80 plaintes ont été reçues, dont 90% ont été de faits avérés et envoyés au Bureau indépendant anti-corruption (Bianco), a fait savoir M. Andriamahavonjy.
Il faut noter que le Bianco, lancé à Madagascar en 2004 pour lutter contre la corruption, reçoit toutes sortes de plaintes mais tous les dossiers qui arrivent au bureau du Bianco ne sont pas forcément recevables faute de preuve concrète.
Financé par l’Union européenne, le projet CAJAC a des bureaux dans 50 pays et a ouvert cette année des bureaux dans cinq autres pays dont Cameroun Madagascar, Maurice, Niger et Sénégal. (Xinhua)
http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve4820