L'AMM pour une "Transition neutre"
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"La sortie de crise dépendra de l'organisation d'élections crédibles et transparentes organisées par une autorité neutre et impartiale qui s'attachera, au préalable, à ramener un environnement apaisé, sans lequel l'exercice des droits civiques dans la sérénité n'est qu'illusoire", ont-ils déclaré.
Pour eux, cette autorité chargée de l'organisation des élections serait incarnée par une "Transition neutre" dont ils se chargeraient de désigner les membres.
En cela, les maires se prévalent des statuts de "représentants du citoyen de base" et de "dépositaires de la légitimité populaire", en ce sens qu'ils ont été élus au suffrage universel direct.
Par conséquent, il est donc clair que les membres de l'AMM sont contre la tenue du référendum du 17 novembre et des communales du 20 novembre. A ce propos, ils campent sur leur position concernant les scrutins communaux qu'ils estiment comme "nuls et non avenus" et considèrent que le référendum constitutionnel "ne permettra pas au pays d'entrer dans une nouvelle République".
A noter que, d'après le décompte effectué par le président de l'AMM, Guy Maxime Ralaiseheno, près de 300 maires ont assisté au congrès national. "Toutes les régions ont été représentées", s'est-il réjoui.
Le "congrès national" des maires prévu par l'association des maires de Madagascar (AMM) s'est tenu, hier à l'espace Salohy Andoharanofotsy. Comme prévu, les participants ont livré leurs points de vue sur la crise et ce qu'ils estiment être la meilleure solution à appliquer pour y mettre fin.
"La sortie de crise dépendra de l'organisation d'élections crédibles et transparentes organisées par une autorité neutre et impartiale qui s'attachera, au préalable, à ramener un environnement apaisé, sans lequel l'exercice des droits civiques dans la sérénité n'est qu'illusoire", ont-ils déclaré.
Pour eux, cette autorité chargée de l'organisation des élections serait incarnée par une "Transition neutre" dont ils se chargeraient de désigner les membres.
En cela, les maires se prévalent des statuts de "représentants du citoyen de base" et de "dépositaires de la légitimité populaire", en ce sens qu'ils ont été élus au suffrage universel direct.
Par conséquent, il est donc clair que les membres de l'AMM sont contre la tenue du référendum du 17 novembre et des communales du 20 novembre. A ce propos, ils campent sur leur position concernant les scrutins communaux qu'ils estiment comme "nuls et non avenus" et considèrent que le référendum constitutionnel "ne permettra pas au pays d'entrer dans une nouvelle République".
A noter que, d'après le décompte effectué par le président de l'AMM, Guy Maxime Ralaiseheno, près de 300 maires ont assisté au congrès national. "Toutes les régions ont été représentées", s'est-il réjoui.